Un sourire pour bien des pleurs
Bel hommage pour moi de fleurs
Puis le garde et son rouge maudit
Et ma peau hurlante embrassa le fruit
Mon « quoi? » semblait alors les toucher
Mais une nouvelle douleur je du attester
La tomate magique me rendit sportif
Le dos cassé comme cadeau d'annif
Me relevant désireux de mon doux abri
Une corde épineuse me vola un cri
Sa cruelle s½ur déboita mon poignet
Le moonwalk pouvait-il donc me libérer?
Rien ne fut et Marshall me saigna
À mes larmes mortes le peuple ria
Frollo, le divin, me vit déconstruit
Et dans son c½ur le bonheur luit
De grosses pierres succédèrent aux légumes
Et mon sang coulait sous le coup des enclumes
La mort ne vint jamais me chercher
M'obligeant à souffrir pour l'éternité
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Christonetos, Posté le jeudi 28 avril 2011 15:07
En tout cas, il souffre :)